« Je pense que nous avons créé des outils qui déchirent le tissu social » a jugé Chamath PALIHAPITYA , en faisant part de « son immense culpabilité ». S’il indique ne détenir aucune solution à l’heure actuelle, il préconise une « vraie pause » avec le réseau social, qu’il impose à ses propres enfants.
J’essaie de me faire des amis en dehors du vrai Facebook, tout en appliquant les mêmes principes.
Alors tous les jours, je descends dans la rue et j’explique aux passants : ce que j’ai mangé, comment je me sens, ce que j’ai fait la veille.
Et aussi ce que je suis en train de faire, ce que je vais faire demain.
Je leur donne des photos de mes enfants, du chien que j’ai déjà eu, de moi en train de laver ma voiture.
J’écoute aussi les conversations des gens et je leur dis « j’aime ! »
Et ça marche !
Actuellement j’ai déjà 4 personnes qui me suivent : 2 policiers, 1 psychiatre et 1 psychologue.